Lors de la réunion du conseil municipal hier soir, Denis Lapointe le maire de Salaberry-de-Valleyfield a précisé que la ville s’est améliorée beaucoup depuis 2003 en ce qui a trait aux bris d’aqueduc.
Monsieur Lapointe réagissait à l’article publié il y a quelques jours dans le Journal de Montréal concernant les municipalités québécoises avec le nombre le plus élevé de bris d’aqueduc.
Parmi les villes de plus de 25 000 de population, Salaberry-de-Valleyfield était deuxième rang au Québec en 2009 avec 65 bris par 100 kilomètres.
Hier le maire n’a pas nié ces chiffres, mais a mis en relief le fait que Salaberry-de-Valleyfield avait, en 2003, 117 bris par 100 km de conduites d’aqueduc. Le nombre de fuites est donc en forte diminution.
Les résidents de Salaberry-de-Valleyfield savent aussi qu’en 2010, il y a eu la refonte de plusieurs conduites d’eau. Ce qui augure bien pour le futur.
57 millions $ ont été injectés dans le réseau pour le remplacement des conduites dans deux secteurs de la Capitale du Suroît. En plus des travaux de gainage ailleurs sur le réseau.
Cet été, des travaux de mise à jour de conduites d’aqueduc sont au programme dans les secteurs à l’est du centre-ville de Salaberry-de-Valleyfield.
Si je comprends bien Denis Lapointe, la Ville ne devrait pas figurer dans le peloton de tête du prochain palmarès effectué par le ministère des Affaires municipales, des Régions et de l’Occupation du territoire (MAMROT).