Pour la semaine de la santé mentale, la Ville de Mercier tient à sensibiliser les citoyens par rapport à la violence faite aux autres, mais aussi à soi-même. Elle prie ses citoyens de demander de l’aide avant qu’il ne soit trop tard et de rester vigilant afin de reconnaître et aider des gens qui souffrent.
Il est temps de briser les tabous et de laisser tomber les préjugés. Avec la pandémie qui persiste, la détresse mentale est de plus en plus présente autour de nous. Nous avons la responsabilité en tant qu’individus de demander de l’aide si ça ne va pas, mais aussi d’apprendre à reconnaître les symptômes et les agissements de ceux qui ne vont pas bien dans notre entourage. La vigilance est primordiale afin d’agir en amont aux situations pour éviter les drames.
« Il est important de demander de l’aide, mais il faut d’abord éduquer et faire comprendre aux gens qui souffrent que ce n’est pas un signe de faiblesse que de demander de l’aide. Il faut faire connaître et partager les ressources qui sont à la disposition des citoyens parce que la personne qui souffre fait aussi souffrir les gens de son entourage. Les dommages sont permanents et irréversibles », souligne la mairesse de Mercier, madame Michaud.
Des experts font face à de grandes préoccupations par rapport au déconfinement éventuel. Le retour à la réalité pourrait être synonyme de perte de contrôle pour certains. La Ville de Mercier rappelle que plusieurs ressources sont disponibles et qu’il ne faut pas attendre qu’il soit trop tard.