Les années 2018 et 2019 ont été celles de tous les records pour la Ville de Salaberry-de-Valleyfield qui vit une véritable effervescence économique. Tout d’abord, selon les données fournies par le Service de l’urbanisme et des permis de la Capitale du Suroît, la valeur des permis émis au cours de cette période s’est élevée à plus de 450 millions de $, soit 173 millions de dollars en 2018 et 277 millions de dollars en 2019. Considérant que la moyenne pour les six années précédentes tournait plutôt autour de 80 millions de dollars, il s’agit d’un bond tout à fait prodigieux.
Près de 1 000 nouveaux logements
En ciblant uniquement le secteur résidentiel, on constate que 973 nouveaux logements ont été créés en 2 ans sur le territoire de la municipalité. Le tout, dans un contexte où Salaberry-de-Valleyfield s’est également classée au deuxième rang parmi toutes les villes du Québec pour la croissance des ventes résidentielles, et ce, lors de deux trimestres consécutifs en 2019.
« La croissance rencontrée provient réellement de tous les secteurs d’activité, que ce soit le résidentiel, le commercial, l’industriel ou l’institutionnel », a confirmé Martin Pharand, directeur du Service de l’urbanisme et des permis.
Le maire de la Ville de Salaberry-de-Valleyfield Miguel Lemieux est évidemment très heureux de ses résultats :
« Ces chiffres sont la preuve indéniable de l’incroyable pouvoir d’attraction de notre municipalité. De plus en plus de gens font le choix de s’établir chez nous et d’y investir. Cette vitalité économique contribuera à nous créer une marge de manœuvre nous permettant d’offrir de meilleurs services et de réinvestir dans nos infrastructures en minimisant l’impact sur le portefeuille des contribuables. »