(Marie-Ève Rochefort) – Grâce à des investissements de 1,6 M$, le département d’oncologie de l’Hôpital du Suroît a été en mesure de moderniser son système centralisé d’additifs aux solutés (SCAS), lequel sert à préparer et traiter les médicaments de chimiothérapie pour les patients atteints d’un cancer en plus de compléter son équipe d’oncologues en engageant un nouveau professionnel, une première pour l’institution de santé.
La somme a également permis l’ajout de plusieurs fauteuils d’aisance pour améliorer le confort des patients durant leurs traitements et de nouveaux groupes ont été ouverts afin d’accompagner les malades et de leur offrir du soutien dans cette étape qui peut s’avérer difficile.
Des travaux devenus nécessaires
Préparer des médicaments de chimiothérapie peut s’avérer dangereux à long terme pour les personnes qui les manipulent en raison des agents cytotoxiques. C’est pourquoi les professionnels de la santé doivent suivre à la lettre les normes de l’Ordre des pharmaciens du Québec, lesquelles « ont évoluées plus rapidement que les capacités des hôpitaux à s’adapter » pour reprendre les dires du pharmacien Victor Meyer. Les travaux lancés par le Centre de santé et de services sociaux (CSSS) du Suroît ont donc permis la création d’un SCAS quatre fois plus grande, qui répond aux critères de qualité et de sécurité.
« Dès la réception des médicaments, nos professionnels doivent être masqués, protégés par gants et une blouse au cas où il y aurait une fiole brisée. La pièce où on déballe le matériel est également dotée d’une ventilation spéciale afin d’éviter les risques de contamination. Les fioles sont nettoyées et stockées dans des armoires qui sont aussi ventilées au cas où il y aurait des émanations. De son côté, la personne qui prépare les médicaments doit se mettre deux paires de gants spécialement conçus pour travailler avec des agents cytotoxiques. Pour faire plus simple, ce sont les mêmes critères qu’on demande ici en terme de protection que dans un bloc opératoire, en plus de la protection contre les agents chimiotoxiques », a expliqué le pharmacien Victor Meyer.
Une équipe médicale complète
Une autre bonne nouvelle pour le secteur d’oncologie du CSSS du Suroît est sans aucun doute l’embauche de l’oncologue Philippe Le, lequel complète l’équipe médicale de ce département, une première pour l’institution de santé.
« Pour une première fois dans l’histoire de la clinique d’oncologie de l’Hôpital du Suroît, notre équipe médicale est désormais complète. C’est une excellente nouvelle considérant les défis de recrutement que vit le réseau, particulièrement dans cette spécialité médicale », a confié Lyne Daoust, directrice Programme santé physique au CSSS du Suroît.
Contribution de la Fondation de l’Hôpital du Suroît
Le projet de modernisation du système centralisé d’additifs aux solutés n’aurait pu voir le jour sans la participation financière de l’Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie pour environ 700 000 $ et la contribution de la Fondation de l’Hôpital du Suroît, laquelle a injecté 703 000 $ pour la réalisation des travaux.
Lyne Daoust, Sophie Goneau, chef du secteur de la pharmacie par intérim, Kathleen Favreau O’Brien, directrice générale de la fondation et François Therrien, directeur général du CSSS du Suroît étaient réunis pour la conférence d’aujourd’hui.
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Dommage que le Dr Le ne soit pas en mesure de transférer mon cas à un autre hopital, spécialiste en lymphome folliculaire. J’ai failli mourir à cause de sa négligence, a m’examiner, suite à ma demande. Incapable d’empathie et d’écoute , il m’a envoyé voir mon Dr de famille afin d’être examinée. Ce dernier n’a aucun notion de maladie liée à la chimio. Ce qui est normal puisque qu’il m’a déjà référé au Dr Le. À cause de sa négligence, j’ai été hospitalisé pendant 3 mois, j’ai failli mourir ( d’ailleurs Dr Le m’a mis devant cet éventualité, avant même d’être transféré au Glen) Dr Le est plus préoccupé par sauver son orgueil que de sauver des vies.
À presque tout les rendez-vous avec Dr Le, je suis sortie de son bureau en pleurant, à cause de son attitude presque méchante, d’ailleurs mon médecin de famille Dr Jean-Pierre Hébert, que je parlais afin d’être rassurée par rapport au Dr Le, qui me prescrit mes anti-dépresseurs depuis une quinzaine d’années, a du augmenter ma dose à cause de la souffrance dont j’éprouvais face au manque d’ampathie du Dr Le.
J’ai passé presque 3 mois dans 4 Hôpitaux différent et je n’ai jamais eu à faire face à autant de négligence et de manque d’écoute qu’avec Dr Le.