Le service de transport collectif exo a annoncé aujourd’hui que l’installation et la mise en service des équipements de son système d’aide à l’exploitation et à l’information aux voyageurs (SAEIV) dans l’ensemble des véhicules desservant le secteur Sud-Ouest sont maintenant complétées. Les utilisateurs pourront donc accéder en temps réel au déplacement des autobus sur le réseau.
Constitué d’un système de géolocalisation des véhicules et d’un système d’information aux voyageurs reliés à un centre de contrôle, le SAEIV permettra également de communiquer d’autres renseignements utiles aux voyageurs de façon simple et rapide au moyen de l’application mobile Chrono. À bord, les prochains arrêts seront annoncés sur des panneaux à message variable et via un système de diffusion vocal.
« L’arrivée du SAEIV dans le secteur Sud-Ouest améliorera l’expérience des clients du transport collectif et leur permettra de se déplacer de façon efficace. L’attractivité du transport collectif dans notre région est à l’avantage de toutes et tous », a affirmé Bruno Tremblay, maire de Beauharnois et membre du conseil d’administration d’exo.
Amélioration du service
Les équipements de géolocalisation en temps réel faciliteront les opérations et aideront exo à améliorer son service, tant au niveau de la ponctualité que de la régularité. En effet, comme l’explique Mme Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, un tel service « facilite clairement les déplacements des citoyens en plus de rendre le transport collectif plus efficace et plus attrayant. »
« Nous sommes fiers chez exo de participer au déploiement d’un service de transport collectif régional fort et structurant, ajoute Sylvain Yelle, directeur général d’exo. Pouvoir planifier ses déplacements, peu importe le mode de transport, est un besoin réel de notre clientèle du secteur Sud-Ouest et nous y répondons. »
L’implantation du SAEIV s’effectue de manière progressive en 2019 sur l’ensemble du territoire d’exo. Ce projet est rendu possible grâce à l’Autorité régionale de transport métropolitain et au financement des gouvernements du Canada et du Québec dans le cadre de la mise en œuvre du Fonds pour l’infrastructure de transport en commun.