(Jadrino Huot) – La Sûreté du Québec invite les utilisateurs d’Internet à redoubler de prudence face aux légendes urbaines, ces histoires étranges et spectaculaires qui s’avèrent en bout de ligne n’être que de fausses rumeurs.
Différents types de légendes urbaines circulent présentement sur la toile, certaines étant même à tort attribuées à la Sûreté du Québec ou à d’autres corps policiers pour donner plus de crédibilité au récit.
Les exemples de canulars sont nombreux : de celui qui prétend qu’une nouvelle drogue à saveur de fraise, le Strawberry Quick, soit distribuée dans les cours d’écoles au « populaire » virus virtuel qui paralyserait votre ordinateur. Drogues, gangs de rue, fraudes, vols, aucun sujet n’est laissé pour compte par les individus malfaisants.
Les légendes urbaines sont parfois folles, mais circulent quand même comme celle que le « Swiffer WetJet » serait un produit toxique pour les enfants et les animaux.
Un berger allemand de cinq ans serait même décédé après avoir absorbé une partie du produit dont sont imbibées les lingettes. Après avoir marché sur le sol tout juste lavé, le chien se serait léché les pattes et serait mort intoxiqué!
Devant la recrudescence de ce phénomène, la Sûreté du Québec a mis sur pied une section spéciale sur les légendes urbaines sur son propre site Internet : « Faites preuve de gros bon sens. Si l’histoire semble invraisemblable, elle l’est probablement. Faites un travail de recherche et vérifiez la provenance du message avant de le diffuser à tous vos contacts ou de nous le faire parvenir », peut-on y lire.
Les internautes peuvent consulter ce site Internet de la Sûreté du Québec pour plus de détails.