Le prochain déjeuner-conférence du Café Agora tentera de répondre à la question Faut-il vraiment augmenter les frais de scolarité? Celui qui aura le fardeau de répondre à la cette question est le chercheur Simon Tremblay-Pepin.
Selon ce qu’on entend par les temps qui courent, les universités du Québec seraient cruellement sous-financées, ce qui les empêcherait d’offrir une éducation de qualité et de participer activement à l’économie québécoise. Pas d’autre choix, dit-on, que de hausser les frais de scolarité. De toute façon, une personne avec un diplôme universitaire gagnera un plus haut salaire à la fin de ses études : en s’endettant, elle fait donc un investissement rentable dans son capital humain. Un discours répandu qui est répété par certains intervenants du gouvernement Charest.
Qu’en est-il vraiment ? Le Café Agora a demandé à Simon Tremblay-Pepin, chercheur à l’Institut de Recherche et d’Information Socio-économique (IRIS) de nous livrer son point de vue sur cette question.
M. Tremblay-Pépin, qui complète un doctorat en sciences politiques à l’université York, sera donc le conférencier au prochain déjeuner-conférence du Café Agora ce dimanche (20 novembre) de 10 heures à midi au 222 Alphonse-Desjardins à Salaberry-de-Valleyfield. Un frais de 5$ couvre le petit-déjeuner servi sur place.