La Ville de Salaberry-de-Valleyfield et le regroupement Destination Valleyfield annonçaient ce mardi l’implantation de Freedom Boat Club. Le plus gros club nautique au monde a choisi Salaberry-de-Valleyfield pour s’implanter au Québec, positionnant d’un seul coup la ville sur le plan international, grâce à un réseau rassemblant plus de 50 000 membres.
Une destination nautique à haut potentiel
Le choix étudié des propriétaires de faire de Salaberry-de-Valleyfield le point de départ de leur implantation au Québec et leur carte de visite démontre la valeur et le potentiel récréotouristique de la ville.
« Nous sommes tombés sous le charme de ce centre-ville nautique unique. Nous ne pouvions pas rêver mieux comme site d’implantation. Le potentiel est très grand, si proche de Montréal! », a expliqué Jerry Krassakopoulos, coordonnateur des opérations.
L’offre unique du club
L’objectif de ce club nautique est d’offrir à ses membres une expérience de navigation de plaisance sans tracas. Une fois membre à vie, l’abonnement mensuel donne accès aux bateaux du club d’attache sans limites, mais aussi à des heures de navigation dans tous les autres clubs du monde. Chaque jour, les équipes à quai s’occupent du ravitaillement, du nettoyage et de l’entretien des bateaux. Ils accueillent alors les membres qui n’ont plus qu’à profiter d’une journée sur l’eau.
Cette offre basée sur le partage ouvre la porte du nautisme à un large éventail d’intéressés qui ne possèdent pas ou plus de bateau pour des raisons de coût, de manque de place à quai ou d’entreposage, comme de manque de temps pour l’entretien, etc. Freedom Boat Club accueille un large éventail d’utilisateurs : plaisanciers débutants, chevronnés, anciens propriétaires de bateaux, jeunes familles et retraités, grâce à une flotte de bateaux variée.
Le club de Salaberry-de-Valleyfield déjà en activité
Pour l’instant, même si le club de Salaberry-de-Valleyfield entame le recrutement de ses propres membres, l’équipe sur place a déjà accueilli des clients : des membres des clubs de New York, Daytona, Tempa Bay, Ottawa, etc. Cette clientèle génèrera des retombées économiques au bénéfice des hébergements, des restaurants, des boutiques et de l’offre récréative à proximité. Le Freedom Boat Club est donc aussi une incroyable nouvelle vitrine pour Salaberry-de-Valleyfield qui se retrouve dans le répertoire des destinations du regroupement et qui est pour l’instant la seule au Québec.
Une offre nautique toujours plus riche
Le maire de la Ville de Salaberry-de-Valleyfield, Miguel Lemieux, a profité de la conférence de presse pour souhaiter officiellement la bienvenue à l’entreprise Freedom Boat Club et à son équipe.
« Désormais, pas une année ne se passe sans accueillir une nouvelle offre nautique. Salaberry-de-Valleyfield se positionne, saison après saison, comme une ville phare du nautisme au Québec. Grâce aux entrepreneurs derrière cette offre récréative toujours plus diversifiée, la beauté de nos plans d’eau rayonne et nous positionne comme une destination touristique de choix, mais aussi comme un milieu de vie exceptionnel. Je profite de l’occasion pour remercier l’investissement de la Société du Vieux Canal de Beauharnois pour le travail de gestion et de coordination réalisé auprès des entreprises touristiques installées au quai commercial dans le canal. Enfin, merci à Freedom Boat Club d’avoir misé sur nous et longue vie à leur premier port d’attache au Québec! », se réjouit-il.
À propos du Freedom Boat Club
Freedom Boat Club a été fondé en 1989 à Sarasota en Floride. Les trente ans d’existence du réseau ont permis de déployer plus de 350 sites, des franchises réparties entre les États-Unis, le Canada et l’Europe. Aujourd’hui, le club est la propriété du groupe Brunswick, connu comme marque d’embarcations nautiques. En mai 2019, Freedom Boat Club a été acquis par Brunswick Corporation. Leader dans le domaine maritime, le portefeuille de Brunswick comprend les moteurs Mercury Marine ainsi que des marques de bateaux Bayliner Boats, Boston Whaler, Cypress Cay Pontoon Boats et Sea Ray, entre autres.
J espère qu’ils vont franciser le nom (Freedom Baot Club)nous sommes des campivalanciens et nous sommes de fiers québécois.