Les élus de la Municipalité de Sainte-Barbe informent la population des plus récents développements entourant le projet d’écocentre sous-régional dont l’ouverture est prévue d’ici la fin de l’année au 433 de la route 132. La forme initiale du projet est revue afin d’envisager un aménagement moins coûteux, tout en offrant aux citoyens les services incontournables d’un écocentre.
Pour l’heure, les élus de Sainte-Barbe sont en pourparlers avec les représentants de municipalités et villes voisines dans le but de concrétiser des ententes de partenariats selon lesquelles tous les frais d’aménagement du site sont assumés par Sainte-Barbe, grâce à des subventions et des excédents affectés, alors que les frais de fonctionnement sont couverts par les municipalités et villes partenaires par le versement d’une quote-part.
« Nous avons pris un pas de recul pour mieux avancer ce projet si important pour la communauté et les générations futures. Nous sommes convaincus de la nécessité de réduire notre empreinte écologique en revalorisant des matières qui sont présentement enfouies. Bien que le projet prenne plus de temps que prévu à se concrétiser, nous sommes toujours sur la bonne voie et plus que jamais persuadés de la nécessité de cet écocentre sous-régional », a déclaré la mairesse Louise Lebrun.
Des services offerts à l’année avec accès illimités
En vertu des ententes intermunicipales, les résidents des villes et municipalités partenaires pourront aller à l’écocentre de Sainte-Barbe, sans limites de visites, pour se départir de façon écologique de matières telles que :
- Matériaux de construction, rénovation, démolition (CRD);
- Réfrigérants;
- Pneus sans jantes;
- Matières dangereuses (RDD);
- Articles des technologies de l’information et des communications (TIC);
- Encombrants.
Rappelons que les études démontrent que ce sont plusieurs tonnes de résidus domestiques dangereux (RDD), de produits des technologies de l’information et de la communication (TIC), ainsi que de matières résiduelles qui pourraient transiger annuellement à l’écocentre sous-régional de Sainte-Barbe.