Sainte-Martine adopte son budget pour l’année 2015

(Jean-Pierre Major) – La Municipalité de Sainte-Martine a adopté son budget pour l’année 2015 lors de la séance spéciale du conseil le 21 janvier dernier. L’augmentation moyenne du compte de taxe pour le secteur urbain est de 1,97% et 2,19% pour la zone rurale.

C’était le premier budget de quatre des six conseillers élus l’automne dernier (Carole Cardinal, Mélanie Lefort, Richard Laberge et Normand Sauvé) et le premier budget de Maude Laberge en tant que mairesse. Mme Laberge a expliqué que les objectifs fixés par les élus lors de la préparation du budget étaient de limiter le plus possible l’augmentation des taxes à l’indice des prix à la consommation (IPC) et rétablir la compensation de l’eau pour une taxation plus équitable.

Également, les élus de Sainte-Martine ont dû prendre en compte le pacte fiscal transitoire entre les municipalités et le gouvernement du Québec qui inclut une importante perte de transferts monétaires notamment en ce qui a trait au remboursement de la TVQ à la Municipalité, l’augmentation des coûts des services de la Sûreté du Québec, la hausse du budget pour les frais juridiques, les sommes à investir sur les infrastructures vieillissantes et la diminution des revenus provenant des droits de mutation.

Dans ce contexte, la mairesse Maude Laberge est fière du travail accompli par le conseil municipal qui a permis, malgré les contraintes et les coupures, de présenter et d’adopter un budget équilibré où la hausse moyenne du compte de taxes est limitée à 1,97 % pour le secteur urbain (qui paie une taxe de compensation pour l’eau) et à 2,19 % pour le secteur rural (sans cette taxe d’eau). La taxe foncière augmente de 0,02 $ du 100 $ d’évaluation (de 0,45 $ à 0,47 $ pour un immeuble résidentiel), la taxe d’eau résidentielle diminue de 25 $ et la taxe des eaux usées augmente de 12 $.

Pour ceux que cela intéresse, la Présentation du budget municipal 2015 est disponible sur le site Internet de la Municipalité de Sainte-Martine ou disponible en version papier au comptoir de l’hôtel de ville (3, rue des Copains).

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