Être généreux pour la Guignolée des paroisses

C’est le dimanche 29 novembre prochain que des bénévoles cogneront à votre porte pour demander votre générosité alors que se tiendra la Guignolée des paroisses. De 13 h à 16 h, ils arpenteront tous les quartiers de la Ville de Salaberry-de-Valleyfield. L’année dernière, c’est 18 500 kilos de nourriture et 17 400 $ en dons qui ont été amassés, ce qui a permis de confectionner 865 paniers de Noël.

Recherche de bénévoles

Le Service alimentaire communautaire (SAC) et les paroisses de Salaberry-de-Valleyfield lancent un appel public pour recruter de nouveaux bénévoles pour la journée de la collecte, mais aussi pour les jours suivants, afin de trier, préparer et distribuer les paniers aux familles dans le besoin. Pour s’inscrire comme bénévole, il suffit d’appeler au SAC en composant le 450 377-5551.

Un dimanche de générosité

La Guignolée des paroisses est revenue l’an dernier à sa tradition de ramasser les denrées alimentaires non périssables et les dons en argent de porte-à-porte le dimanche après-midi, au lieu d’un soir de semaine. Les gens sont appelés à réunir la nourriture et leurs dons à l’avance. Ceux qui envisagent de s’absenter peuvent laisser la nourriture dans des boîtes ou des sacs bien en vue sur le pas de leur porte afin que les bénévoles puissent les récupérer.

Les paroisses participantes à la guignolée annuelle sont, Immaculée-Conception de Bellerive (incluant Saint-Joseph-Artisan), Sacré-Coeur-de-Jésus (incluant Saint-Eugène), Saint-Pie X (Grande-Île), Sainte-Cécile (incluant Saint-Esprit et Saint-Augustin) et Saint-Timothée (incluant Notre-Dame-du-Sourire et Nitro).

Des milliers de familles dans le besoin

Rappelons qu’en 2014, grâce au travail de plus de 600 bénévoles affectés à la récupération des denrées, au tri, à la préparation et à la distribution, 865 paniers de Noël ont été offerts à des familles totalisant 2 700 Campivallensiens, adultes et enfants. Parmi eux, des personnes sans emploi, handicapées ou malades, des étudiants recevant des prêts et bourses, mais aussi des familles de travailleurs dont les revenus sont insuffisants. Ce geste collectif de solidarité leur permet de passer un meilleur temps des fêtes.

L’argent amassé sert quant à lui à ajouter des denrées périssables dans les paniers, comme de la viande, des produits laitiers, des fruits et des légumes. Afin de mesurer la progression de la demande, voici un tableau des statistiques de 2008 comparativement à celles de 2014.

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